Une ministre à la cité de l’Ill de la Robertsau

En circonscription | 16 février 2021

Lundi 15 février dernier, j’ai eu l’honneur d’inviter Mme Élisabeth MORENO, Ministre déléguée en charge de l’égalité des chances, aucentre socioculturel de l’Escale, pour qu’elle puisse y rencontrer les professionnels, les bénévoles et les bénéficiaires du « pôle insertion ».

L’égalité des chances est une de mes grandes priorités à travers l’accès aux soins, les moyens accordés à l’école ou encore la lutte contre les discriminations.

Vous pourrez découvrir ci-dessous quelques mesures très concrètes pour ce quartier.

ÉGALITÉ DES CHANCES À L’ÉCOLE

Depuis la rentrée 2019 les élèves de CP et de CE1 qui se trouvent en réseau d’éducation prioritaire (REP) ne sont plus que 12 par classe. C’est le cas à l’école Jean-Baptiste Schwilgué, où 120 élèves bénéficient aujourd’hui de meilleures conditions pour apprendre à lire, écrire et compter.

ÉGALITÉ D’ACCÈS AUX SOINS

La Maison urbaine de santé de la cité de l’Ill, inaugurée en janvier fait partie de la 1ère communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du Bas-Rhin. Cette organisation en communauté de professionnels soignants a pour but de faciliter l’accès aux soins de la population du nord de l’Eurométropole de Strasbourg, et en particulier des habitants des quartiers prioritaires. C’est un des objectifs de la stratégie « ma santé 2022 » du Gouvernement qui est mis en oeuvre.

1 JEUNE 1 SOLUTION

Le plan #1jeune1solution, lancé le 23 juillet 2020, vise à offrir une solution à chaque jeune.

  • 1jeune1solution c’est de 5000 € à 8000 € d’aides exceptionnelles pour un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation
  • 1jeune1solution c’est près de 3000 offres d’emplois dans le Bas-Rhin #1jeune1solution c’est 4000 € d’aide à l’embauche d’un jeune de -26 ans
  • 1jeune1solution c’est des milliers de missions de services civiques indemnisées, pour se rendre utile tout en développant de nouvelles compétences

Les députés Bruno Studer et Vincent Thiébaut se félicitent de la réforme à venir du code minier

Communiqués | 16 février 2021

Attendue depuis près de 10 ans, la réforme du code minier fait partie intégrante du projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets. Elle sera donc mise en œuvre très prochainement.

L’exemple récent de la géothermie illustre parfaitement l’urgence qu’il y avait de réformer le cadre dans lequel elle s’exerce, c’est-à-dire un code minier qui n’est plus adapté aux contraintes et aux exigences environnementales et sociétales.

Travailler en faveur de cette réforme était un engagement des parlementaires pris dès 2017 lors de la campagne des élections législatives qui avait déjà permis d’identifier les limites actuelles du droit en la matière.

Dans le cadre de l’examen du projet de loi « climat », Bruno Studer et Vincent Thiébaut vont donc s’attacher à travailler sur les articles réformant le code minier en lien avec les professionnels, les associations et les élus locaux dans la même démarche que celle engagée ces derniers mois sur la question de la géothermie et de ses conséquences sismiques.

Les députés prennent par ailleurs acte de l’avis favorable rendu par le conseil national de la transition écologique, qui voit dans ce projet de loi « un équilibre entre les besoins stratégiques de la France, l’intérêt des exploitants, la protection de l’environnement et la participation des parties prenantes aux décisions publiques » (délibération 2020-3).

Géothermie/sismicité : consultation des associations d’habitants

En circonscription | 5 février 2021


🛑 Les évènements sismiques induits par la géothermie que nous avons subi ces derniers mois ont eu des conséquences sur le bâti et ont soulevés de nombreuses questions.

➡️ C’est pourquoi nous avons aujourd’hui organisé avec mon collègue Vincent Thiébaut une après-midi de consultation destinée aux associations d’habitants pour qu’ils puissent nous faire part de leurs observations, demandes et constats. 

➡️ Nous nous ferons le relai de ces éléments auprès des autorités et notamment de la Préfète du Bas-Rhin avec laquelle nous avons une réunion de travail la semaine prochaine.

➡️ Mon équipe et moi-même restons à votre disposition pour recueillir vos témoignages et vos questions par message, téléphone ou mail.


Mise à jour du 8 février 2021

Nous nous sommes fait le relai de ces éléments auprès de Mme Josiane Chevalier, Préfète de la Région Grand-Est, Préfète du Bas-Rhin, que nous avons rencontré le 8 février pour une réunion de travail sur le sujet.

Nous continuons de suivre la situation de très près.

La réponse d’Eric Dupond-Moretti à mon courrier sur les incendies de véhicules

Évaluation et contrôle | 4 février 2021

Inciter à brûler une voiture n’est pas la même chose que l’incendier. Mais ce n’est pas anodin, et cela ne doit pas rester impuni.

Dans un courrier, je pointais à Éric Dupond-Moretti les difficultés juridiques à sanctionner pour complicité un individu qui incite un jeune à incendier des véhicules. Il faut en effet être en mesure de prouver que l’incitation a bien été suivie d’actes.

Dans sa réponse, notre ministre de la justice m’indique le nombre de condamnations permises par le délit de provocation, amené à être perfectionné dans le cadre du projet de loi visant à garantir les principes de la République.

Cette procédure plus rapide, permettra de faire face à l’augmentation du nombre de condamnations pour ces actes, une fois qu’elle sera inscrite la loi visant à conforter les principes de la République.

Adoption du PJL Protection des enfants

Le travail législatif | 28 janvier 2021

Mardi 25 janvier, l’Assemblée nationale a adopté définitivement le projet de loi relatif à la protection des enfants, dans sa version issue des conclusions de la commission mixte paritaire. Ce texte, qui constitue le volet législatif de la Stratégie de prévention et de protection de l’enfance 2020-2022 présentée en 2019 par le secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles, replace l’enfant au cœur des politiques de protection de l’enfance.

Fruit de plusieurs mois de concertation avec les représentants des familles et des enfants, des travailleurs sociaux et des départements, cette stratégie a pour objectif d’améliorer le quotidien des enfants, de lutter contre les violences commises contre les enfants, y compris en institution, de lever les réglementations inadaptées qui limitent les capacités d’action des professionnels et de répondre au déficit de coordination entre les différents intervenants.

État des lieux de la protection de l’enfance

La protection de l’enfance concerne les politiques ou les mesures directement tournées vers les mineurs, tendant à prévenir ou suppléer une difficulté des parents à assurer l’éducation et le développement de l’enfant et garantir sa santé et sa sécurité. Si la protection de l’enfance est bien une compétence confiée aux conseils départementaux depuis la loi de décentralisation de 1983, c’est bien l’État qui en fixe le cadre législatif et règlementaire, articulé aujourd’hui autour de la loi n° 2007-293 du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance et de la loi n° 2016-297 du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant.

Le nombre d’enfants ayant bénéficié d’une mesure de protection ne cesse de progresser. Il a atteint 328 000 fin 2018, ce qui représente une hausse de 12,1 % entre 2009 et 2018. L’augmentation du nombre de mineurs non accompagnés (MNA) explique un tiers de l’augmentation du nombre d’enfants concernés.

Les politiques publiques de protection de l’enfance produisent aujourd’hui des résultats insuffisants dans la lutte contre les violences commises contre les enfants, y compris en institution (foyers ASE) et ne répondent plus aux attentes des professionnels en raison d’un cadre règlementaire inadapté. Les rapports récents de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de la Cour des comptes sur la protection de l’enfance appellent à intensifier la prévention et à réformer le pilotage de cette politique publique, pour renforcer sa cohérence, sa coordination et son efficacité.

Le projet de loi

Examiné en première lecture l’été dernier à l’Assemblée nationale et en décembre au Sénat, le projet de loi a été remanié et amendé par les députés puis par les sénateurs, qui se sont accordés sur une rédaction commune le 11 janvier dernier. Le texte, composé de huit titres dans sa version définitive entend répondre aux problématiques soulevées par l’IGAS et la Cour des comptes, en prolongeant la Stratégie de prévention et de protection de l’enfance 2020-2022 :

  • Titre I – Améliorer le quotidien des enfants protégés
  • Titre II – Mieux protéger les enfants contre les violences
  • Titre III – Améliorer les garanties procédurales en matière d’assistance éducative
  • Titre IV – Améliorer l’exercice du métier d’assistant familial
  • Titre V – Renforcer la politique de Protection maternelle et infantile
  • Titre VI – Mieux piloter la politique de protection de l’enfance
  • Titre VII – Mieux protéger les mineurs non accompagnés
  • Titre VIII – Dispositions relatives à l’outre-mer

Titre I – Améliorer le quotidien des enfants protégés

Garantir à chaque enfant les mêmes chances et les mêmes droits implique de s’intéresser au quotidien des enfants protégés, afin de lever les difficultés rencontrées tant par les enfants que par les personnes qui en ont la garde ou par les personnes qui décident du placement ou qui le mettent en œuvre.

Les principales dispositions du texte

👉 Évaluation systématique de la possibilité d’une prise en charge de l’enfant auprès d’un membre de la famille ou d’un tiers de confiance avant le placement dans un établissement de l’ASE ;

👉 Précision et assouplissement des conditions dans lesquelles le juge peut déléguer une partie des attributs de l’autorité parentale au gardien de l’enfant ;

👉 Interdiction totale de l’hébergement des mineurs à l’hôtel et limitons à 2 mois pour les accueils en urgence dans les structures « jeunesse et sport » dans les 2 ans suivant la publication de la loi. Pendant la période transitoire, il est prévu une limitation à deux mois de la durée de prise en charge et imposition d’un niveau minimal d’encadrement de de formation dans les différentes structures d’hébergement.

Les principaux amendements

👉 Versement de l’allocation de rentrée scolaire (autrefois consignée à la caisse des dépôts) à la personne qui assume la charge de l’enfant confié à l’ASE dès lors qu’il réside à son domicile (ajout Assemblée) ;

👉 Principe de non-séparation des fratries en cas de placement des enfants (ajout Assemblée) ;

👉 Officialisation et encadrement du parrainage (ajout Assemblée) ;

👉 Garantie d’une solution d’accompagnement des jeunes majeurs sortis de l’ASE jusqu’à 21 ans (ajout Assemblée) ;

👉 Priorisation de l’accès au logement social pour les mineurs émancipés et jeunes majeurs sortis de l’ASE (ajout Assemblée).

Titre II – Mieux protéger les enfants contre les violences

Les phénomènes de maltraitances sont identifiés comme un risque majeur par les pouvoirs publics et par l’ensemble de la société. Ce projet de loi consacre donc comme priorité absolue la sécurité des enfants, partout où ils sont accueillis au moyen de contrôles stricts.

Les principales dispositions du texte

👉 Extension du contrôle des antécédents judiciaires des professionnels et bénévoles intervenant auprès des enfants ;

👉 Formalisation d’une politique de lutte contre la maltraitance par l’ensemble des établissements de l’ASE ;

👉Généralisation de l’emploi du référentiel de la HAS afin d’unifier sur le territoire le traitement des situations de danger pour les enfants.

Les principaux amendements

👉 Inscription dans les missions de l’ASE de l’accompagnement des enfants victimes de la prostitution (ajout Sénat) ;

👉 Renforcement du contrôle des antécédents judiciaires des majeurs et des mineurs de plus de 13 ans vivant au domicile de l’assistant familial ou maternel, à l’exception de ceux accueillis en application d’une mesure d’ASE (ajout Sénat) ;

👉 Renforcement de la lutte contre la maltraitance des enfants placés avec la création d’une nouvelle autorité, extérieure à l’établissement ou service ASE (ajout Assemblée) ;

👉 Consécration, dans le code de l’action sociale et des familles, d’une définition de la maltraitance (ajout Sénat).

Titre III – Améliorer les garanties procédurales en matière d’assistance éducative

Le juge des enfants constitue un ordre de juridiction répondant à des règles de compétence et d’organisation distinctes de celles du tribunal judiciaire. Pour des décisions portant sur des situations familiales particulièrement complexes, aux conséquences attentatoires aux droits de l’enfant et de ses parents, il apparaît nécessaire d’améliorer les garanties procédurales, en permettant le renvoi de l’affaire à une formation collégiale.

Les principales dispositions du texte

👉 Possibilité de collégialité des décisions du juge des enfants en cas de situation particulièrement complexe ;

👉 Renforcement de l’information du juge en cas de changement du lieu de placement de l’enfant.

Les principaux amendements

👉 Possibilité donnée au juge des enfants, lorsque l’intérêt de l’enfant l’exige, de demander d’office ou à la requête du président du conseil départemental la désignation d’un avocat pour l’enfant capable de discernement, ou d’un administrateur ad hoc pour l’enfant non capable de discernement (ajout Assemblée).

Titre IV – Améliorer l’exercice du métier d’assistant familial

L’accueil familial constitue le premier mode de suppléance parentale et permet ainsi de répondre au besoin de sécurité et de stabilité de nombreux enfants, avec 50 400 agréments en cours de validité et 76 000 mineurs et jeunes majeurs accueillis chez des assistantes familiales et des assistants familiaux au 31 décembre 2017 (chiffres DREES).

 Bénéficiant d’un statut particulier et régie par des dispositions hybrides, la profession est aujourd’hui confrontée à des défis en termes d’attractivité et de reconnaissance, dans un contexte de vieillissement des assistants familiaux. En cinq ans, le nombre total d’agréments d’assistant familial (y compris mixtes) a diminué de 3 %, les nouvelles candidatures ne permettant pas de compenser les départs en retraite à venir des assistants familiaux.

Les principales dispositions du texte

👉 Amélioration des conditions de travail de l’accueillant familial ;

👉 Revalorisation de la rémunération des assistants familiaux, dès le premier enfant accueilli, en leur garantissant une rémunération mensuelle, au prorata de la durée de prise en charge, au moins égale au SMIC

👉 Maintien de la rémunération en cas de suspension afin de sécuriser la situation des professionnels investis

Les principaux amendements

👉 Suppression des dispositions relatives au renouvellement de la suspension de l’agrément de 4 mois des assistants familiaux.

Titre V – Renforcer la politique de Protection maternelle et infantile

Mission partagée de l’État, de l’assurance maladie et des collectivités territoriales, la protection maternelle et infantile (PMI) met en œuvre des actions précoces au service des enfants et des jeunes parents, notamment les plus défavorisés (santé périnatale et de l’enfant, de la santé sexuelle et reproductive, etc.). Face aux difficultés croissantes des services départementaux dans l’exercice de leurs missions, le rapport de la députée Michèle Peyron sur la protection maternelle et infantile, remis en 2019, fait le constat d’une situation très dégradée financièrement et de grandes disparités territoriales dans l’accès à la prévention. Dans le cadre de la contractualisation avec les collectivités, 100 millions d’euros ont d’ores et déjà été mobilisés par l’État pour répondre à cette situation.

Les principales dispositions du texte

👉 Réforme de la gouvernance et du cadre d’action de la protection maternelle et infantile (PMI) par l’inscription de la stratégie de protection et de promotion de la santé maternelle et infantile au sein de la politique globale de santé ;

👉 Instauration d’une une meilleure rémunération par la Sécurité sociale des actions réalisées hors les murs par les personnels de la PMI.

Les principaux amendements

👉 Renforcement de l’encadrement des activités de PMI par des normes minimales d’effectifs (ajout Sénat) ;

👉 Expérimentation d’une maison de l’enfant et de la famille dans les départements volontaires, pour à améliorer la prise en charge des enfants et assurer une meilleure coordination des professionnels de santé (ajout Assemblée).

Titre VI – Mieux piloter la politique de protection de l’enfance

Pilotée par l’État, qui en produit le cadre législatif et règlementaire, la politique de protection de l’enfance est mise en œuvre par les départements et le secteur associatif. L’imbrication des missions des différentes instances de pilotage national, l’enchevêtrement des compétences et la dispersion des moyens font obstacle à la bonne mise en œuvre des missions confiées. La réforme de la gouvernance au niveau national, tel que proposée dans ce projet de loi, a pour objectif de créer un nouveau GIP commun entre État, départements et associations qui regroupe les compétences de l’AFA, du GIPED (119 et ONPE) et des secrétariats généraux du CNAOP et du CNPE et du Conseil supérieur de l’adoption.

Les principales dispositions du texte

👉 Réforme de la gouvernance et du cadre d’action de la protection de l’enfance en substituant aux organismes existants un organisme national unique compétent pour appuyer l’action de l’État et les conseils départementaux.

Les principaux amendements

👉 Renforcement de la gouvernance territoriale de la protection de l’enfance à travers l’établissement, à titre expérimental, d’un comité départemental pour la protection de l’enfance (ajout Sénat).

Titre VII – Mieux protéger les mineurs non accompagnés

Au cours de l’année 2019, 16 760 mineurs ont bénéficié du dispositif national de protection de l’enfance au titre des mineurs non accompagnés. Face à l’augmentation de ces prises en charge par les services départementaux, mieux distinguer les MNA des jeunes majeurs est indispensable, pour alléger la charge des juridictions et des conseils départementaux qui assurent leur prise en charge. À cette fin, les modalités d’évaluation de la minorité ont été précisées par un arrêté du 20 novembre 2019. Pour faciliter l’évaluation de la minorité et contribuer à l’homogénéité des pratiques entre les départements, le Gouvernement a développé le fichier d’appui à l’évaluation de la minorité (AEM), jugé conforme à la Constitution par le Conseil constitutionnel.

Les principales dispositions du texte

👉 Diversification des critères de répartition entre départements des MNA afin de lutter contre l’engorgement de certaines structures ;

👉 Recours obligatoire au fichier d’appui à l’évaluation de la minorité (AEM) par les départements afin d’éviter les pratiques dévoiement du dispositif de protection de l’enfance.

Les principaux amendements

👉 Interdiction de la réévaluation de la minorité (ajout Assemblée).

Une proposition de loi sur la maltraitance des animaux à l’Assemblée nationale

Le travail législatif | 26 janvier 2021

Près d’un Français sur deux possède un animal de compagnie, ce qui suppose des devoirs, un animal n’est pas un jouet !


Renforcement des devoirs de l’acquéreur, renforcement sans sanctions à l’égard de ceux qui commettent des violences sur les animaux, en finir avec l’élevage des visons d’Amérique pour leur fourrure, interdiction à terme des animaux sauvages dans les cirques.


Retrouvez plusieurs des propositions emblématiques de ce texte ci-dessous

https://c.dna.fr/environnement/2021/01/25/la-loi-qui-veut-proteger-les-animaux

Les dispositifs d’aides aux entreprises doivent êtres adaptées aux situations particulières : ma lettre au Ministre de l’Économie et des Finances

En circonscription | 23 janvier 2021

La crise économique consécutive à la crise sanitaire que nous connaissons génère de nombreuses difficultés pour nos entrepreneurs, nos artisans, nos commerçants. Face à ces difficultés, la réponse de l’État a été immédiate avec des aides mises en place et maintenues pour les soutenir dans cette période.

Depuis plusieurs mois maintenant, j’entretiens des échanges réguliers avec les acteurs économiques de la circonscription. Ces échanges ont été l’occasion d’évaluer la pertinence des aides de l’État et m’ont permis d’identifier des réajustements nécessaires.

C’est dans ce sens que j’ai saisi le Ministre de l’Économie et des Finances pour lui faire part des situations particulières rencontrées sur le terrain et lui soumettre certaines propositions.

Où se faire vacciner dans le Bas-Rhin ?

Crise sanitaire | 19 janvier 2021

Certains d’entre vous m’ont demandé quelle est la procédure pour se faire vacciner. Qu’en est-il ?

Depuis ce lundi, la vaccination est ouverte (voir le détail : https://cutt.ly/ZjPwz3v)

• Aux personnes de plus de 75 ans vivant à domicile

• Aux personnes à très haut risque

• Aux résidents en EHPAD

•. Aux professionnels de santé, pompiers, ambulanciers, aides à domicile de plus de 50 ans

Pour trouver le centre de vaccination le plus proche de votre domicile et prendre rendez-vous : https://www.sante.fr/centres-vaccination-covid.html#dep-67

Vous pouvez également demander conseil à votre médecin traitant.

📌 Centre de vaccination – CENTRE HOSPITALIER DE HAGUENAU 64 Av du Professeur Rene Leriche, 67500 Haguenau – 03 88 06 31 77 –

📌 Centre de vaccination – CH d’Obernai Avenue du Maire Gillmann, 67210 Obernai – 03 88 57 56 19

📌 Centre de vaccination – CENTRE HOSPITALIER DE SAVERNE 17 Rue de la Côte, 67700 Saverne –

📌 Centre de vaccination – Clinique Saint Luc 10 Rue des Forges, 67130 Schirmeck – 03 88 21 72 70 –

📌 Centre de vaccination – Clinique Sainte Barbe 29 Rue du Faubourg National, 67000 Strasbourg – 03 88 21 72 70

📌 HOPITAUX UNIVERSITAIRES DE STRASBOURG – Centre de vaccination1 Place de l’Hôpital, 67000 Strasbourg – 03 88 11 58 40

📌 Centre de vaccination – GROUPEMENT HOSPITALIER SELESTAT OBERNAI 28 Avenue Louis Pasteur, 67600 Sélestat – 03 88 57 56 19

📌 Centre de vaccination de Wissembourg 24 Route de Weiler, 67160 Wissembourg 03 88 54 13 13

Un renforcement des moyens de la police pour assurer la sécurité des Strasbourgeois !

En circonscription | 16 janvier 2021

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3661_proposition-loi

Je suis très satisfait par l’annonce par Gerald Darmanin de la création du QRR Hautepierre-Cronenbourg, dispositif central de la Police de sécurité du quotidien qui renforce la présence des forces de l’ordre sur le terrain et vient accroître le partenariat avec les acteurs du quartier, ainsi que de l’extension de celui de Meinau-Neuhof.


C’était une demande de votre part, et comme je vous l’avais indiqué en février (https://urlz.fr/eHXA) et en juin (https://fb.watch/31uIioN6pN/), j’avais interpellé les ministres de l’Intérieur successifs pour que le quartier Hautepierre-Cronenbourg, bénéficie d’effectifs de police supplémentaires.

Vendredi 15 janvier, Facebook Live / SPA de Strasbourg

Le travail législatif | 13 janvier 2021

🐈🐕 On dit parfois qu’on peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités.

Rendez-vous vendredi 15 janvier pour un Facebook Live avec la présidente de la SPA de Strasbourg sur la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale examinée en ce mois de janvier à l’Assemblée nationale.

En attendant retrouvez chaque jour une des mesures inscrites dans la proposition de loi.

Thème 1 : La mise en place d’un certificat de sensibilisation obligatoire lors de l’obtention d’un animal de compagnie

Votez pour ou contre ici


Projet de loi confortant les principes républicains et droit local

La loi en concret | 11 janvier 2021

Le droit local et national en Alsace-Moselle est le fruit d’un héritage historique particulier, et traite de nombreux aspects de notre vie quotidienne : droit des associations, statuts scolaire, régime des cultes…

Ce lundi 11 janvier, réunion de travail studieuse avec Thierry MichelsVincent Thiébaut • Député et Jean-Marie Woehrling, Président de l’Institut du Droit Local Alsacien-Mosellan, autour des incidences du projet de loi conférant les principes de la République sur ce droit, et notamment sur les associations cultuelles.

  • En savoir plus sur le projet de loi visant à conforter les principes de la République (accès)
  • Le projet de loi dans son intégralité (accès)

Réunions publiques

En circonscription | 8 janvier 2021

Le contexte sanitaire ne permet malheureusement pas la tenue de nos réunions publiques habituelles du mois de janvier.

Je vous proposerai en lieu et place des temps d’échanges sous d’autres formes et en ligne.

Pour rester informé des modalités de ces rendez-vous numérique, je vous invite à compléter le formulaire ci-dessous ou à m’écrire à l’adresse réunion-publique@brunostuder.fr

Que fait mon député lorsqu’il n’est pas sur Youtube ?

La loi en concret | 6 janvier 2021

Retrouvez l’intégralité de la bande dessinée ici.

Jusqu’au 25 décembre, j’ai publié sur mes réseaux sociaux un extrait de la bande dessinée « Que fait mon député lorsqu’il n’est pas sur Youtube ? » qui retrace le travail que j’ai mené sur la proposition de loi enfants influenceurs, définitivement adoptée en octobre dernier. 

❓ Pourquoi cette bande dessinée ?

Depuis mon élection, mon leitmotiv est d’expliquer aux citoyens comment un député travaille, avec quelles contraintes, pour quels résultats. 

J’ai donc proposé à Kokopello, dessinateur de bandes dessinées, d’illustrer le travail que j’ai mené pendant près de 2 ans pour faire aboutir le sujet de la protection des enfants influenceurs dans une loi, adoptée définitivement à l’Assemblée nationale en octobre dernier. 

De cette façon, vous verrez comment un sujet émerge, comment une loi s’écrit, comment elle est examinée et débattue. 

Vous verrez également à quel point le travail d’un député est collectif, fondé sur un travail d’équipe avec les assistants parlementaires et administrateurs de l’Assemblée nationale, issu d’échanges réguliers avec des associations et experts. 

**✍️ ** 

A propos de l’auteur des dessins, Kokopello 

Kokopello est dessinateur de presse et l’auteur de Palais Bourbon, une bande dessinée à paraître aux éditions Dargaud et le Seuil le 22 janvier 2021. 

Pour décrypter l’Assemblée nationale, il s’est glissé dans les pas de plusieurs députés, les accompagnant dans les couloirs feutrés du Palais-Bourbon, mais aussi sur les trottoirs de leur circonscription.

Focus sur la toute jeune Collectivité européenne d’Alsace

En circonscription | 4 janvier 2021

La CEA en chiffres

La collectivité européenne d’Alsace (CEA) est une réalité depuis le 1er janvier 2021. Elle répond à ce que l’on a souvent appelé le « désir d’Alsace ».

Avec mes collègues parlementaires de la majorité, nous nous sommes fortement impliqués dans ce projet qui a abouti le 25 juillet 2019 avec l’adoption à l’Assemblée nationale de la loi relative aux compétences de la Collectivité européenne d’Alsace.

Une collectivité unique !

La collectivité européenne d’Alsace est une nouvelle collectivité territoriale : elle a les compétences d’un département mais récupère en plus certaines compétences dévolues à la région ou à l’Etat. Sa création dote aujourd’hui l’Alsace d’une pleine capacité à agir en faveur de l’attractivité du territoire et de la vie quotidienne de ses habitants.

Quelles compétences pour cette nouvelle collectivité ?

En plus des compétences d’un département, elle se voit doter d’autres compétences nouvelles :

– L’action transfrontalière

Elle est au cœur des enjeux sociaux et économiques de l’Alsace et la place comme « chef de file de la représentation transfrontalière ».

– Les transports

La CEA se voit transférer la compétence sur 300 km du réseau routier national. Cela ouvre la possibilité d’instaurer une taxe poids lourds à l’échelle de l’Alsace.

– Le bilinguisme

Cette compétence, partagée avec l’Etat, lui permet, notamment, de mener une action éducative en allemand et en alsacien et de participer au recrutement des enseignants bilingues.

– L’attractivité touristique

La collectivité gère et anime désormais la « marque Alsace » tout en coordonnant sur son territoire les actions des différentes parties prenantes dans le domaine du tourisme.

– La culture et le sport

La nouvelle collectivité est en première ligne pour la préservation et la valorisation du patrimoine alsacien. Les fédérations sportives pourront s’organiser si elles le souhaitent à l’échelle alsacienne.

Le plan de relance : une opportunité pour les énergies renouvelables

Prises de parole | 2 janvier 2021

La transition énergétique est au coeur de nos préoccupations. Le plan de relance qui consacre pas moins de  30 milliards d’euros à la transition écologique comprend de nombreux volets pour construire une France plus « verte ».

Notre ambition va même plus loin : chaque axe du plan de relance doit apporter une contribution à la transition écologique.

Toutes les dimensions de la transition écologique sont prises en compte : la biodiversité, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’adaptation des territoires au changement climatique, le développement des circuits courts, l’économie circulaire et l’artificialisation des sols.

Une partie des mesures du plan de relance permettront quant à elles, une réduction directe des émissions de gaz à effet de serre comme les mesures de rénovation énergétique des bâtiments ou de décarbonation des sites industriels par exemple.  

Il s’agit également de développer de nouvelles technologies qui ont un potentiel de réduction massive des émissions à long terme. C’est le cas par exemple de l’hydrogène, qui pourra avoir des applications dans la production d’énergie décarbonée mais aussi dans les transports et dans l’industrie. 

Permettre à la France de se doter des capacités industrielles et technologiques pour atteindre la neutralité carbone en 2050, voilà notre objectif.

Géothermie à Vendenheim-Reichstett : on fait le point

En circonscription | 29 décembre 2020

Le 4 décembre 2020, les habitants de l’Eurométropole ont ressenti plusieurs séismes, le plus important de magnitude 3,59 sur l’échelle de Richter. Ce jour là, vous avez été nombreuses et nombreux à me faire part de vos craintes et de vos inquiétudes.

Dès la première série de secousses sismiques j’avais saisi, au mois de novembre, la Préfète du Bas-Rhin pour lui demander de confirmer la suspension de toute activité et de diligenter une nouvelle expertise. 

J’avais également pris contact avec les services de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement, et du Logement (DREAL) du Grand-Est qui sont en charge de ce dossier et avec qui j’avais pu évoquer la situation sur le plan technique. 

Ces évènements sismiques ont suscité énormément d’inquiétude et la poursuite de l’activité du site Fonroche de Vendenheim-Reichstett n’était plus  compatible avec les exigences de sécurité légitimes de nos concitoyens.

Elle ne l’était pas plus au regard du principe de précaution qui devait s’appliquer.

C’est la raison pour laquelle j’ai saisi le jour même, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili afin de lui demander l’arrêt définitif de toute activité sur le site de Fonroche de Vendenheim-Reichstett. Cet arrêt a été confirmé le 8 décembre par la Préfète du Bas-Rhin.

Est-ce pour autant la fin de la géothérmie en Alsace ?

La formation décidée d’un comité national d’experts sous l’égide du ministère de la Transition écologique et solidaire vise à consolider les connaissances scientifiques sur les techniques de la géothermie profonde afin de ne pas sonner le glas de l’exploitation de cette source d’énergie très propre qui n’émet quasiment pas de CO2 et au contraire, d’en développer les techniques et la sécurité.

Le bassin rhénan dispose d’un réel potentiel qu’il est possible de mettre en valeur. Ce potentiel est déjà exploité avec succès par Électricité de Strasbourg sur les sites de Rittershoffen et Soultz-sous-Forêts. 

D’autres projets dans le département pourraient redémarrer à l’avenir quand nous aurons une meilleure connaissance de cette technique et des risques qui y sont liés.

Principe de précaution :
de quoi parle-t-on ?


Il est défini comme le principe « selon lequel l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement.»


Il est de ce fait un principe d’action qui autorise les pouvoirs publics à prendre les mesures nécessaires pour faire face à d’éventuels risques alors même que l’on ne dispose pas des connaissances suffisantes pour établir l’existence réelle de ces risques.

[Droit local d’Alsace et de Moselle]

Évaluation et contrôle | 9 décembre 2020

C’est avec surprise que j’ai appris la semaine dernière que les associations dont le siège social est domicilié dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de Moselle se voient priver de l’outil de collecte des fonds et des dons prévus par Facebook car elles ne sont pas reconnues par la loi de 1901.


J’ai donc écrit deux courriers


▶️ comme président de la Commission des Affaires culturelles, à Facebook France, pour demander de prendre les mesures nécessaires pour garantir aux associations d’Alsace-Moselle, les mêmes droits que celles qui sont régies par la loi de 1901.


▶️ comme député du Bas-Rhin au Ministre de la Justice pour attirer l’attention sur la nécessité de la mise en place d’un registre informatisé par les services du ministère de la Justice, dédié aux associations domiciliées en Alsace-Moselle avec 7 de mes collègues d’Alsace-Moselle

Mon communiqué de presse sur le sujet


En savoir plus sur le sujet

Article de Rue 89 Strasbourg :
Article de France Bleu Alsace
Article des DNA
Article de l’UFC que Choisir

Sismicité induite : demande d’arrêt définitif

En circonscription | 4 décembre 2020

De nouveaux séismes induits ont été ressentis ce jour dont l’un en début de matinée atteignant 3,5 sur l’échelle de Richter. Il s’agit du plus fort tremblement de terre enregistré depuis le début des forages géothermiques dans l’Eurométropole de Strasbourg.

L’inquiétude des riverains et des élus grandit après ce nouvel événement dont l’origine se trouve une nouvelle fois dans l’activité de la centrale géothermique de Fonroche de l’écoparc Rhénan de Vendenheim-Reichstett.Je partage cette inquiétude.

Les conditions d’une poursuite de l’activité du site ne sont aujourd’hui plus réunies et l’activité sismique de ces dernières semaines n’est nullement compatible avec les exigences de sécurité légitimes des habitants.

C’est pour cette raison que j’ai saisi la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili afin de lui demander de s’assurer de l’arrêt définitif de toute activité sur le site de Fonroche de Vendenheim-Reichstett.

Malgré le potentiel offert par la géothermie, la sécurité des riverains doit être la seule priorité.

Consultations : pour un nouvel an festif et respectueux

En circonscription | 4 décembre 2020

Renouveler les pratiques démocratiques était un engagement de campagne en 2017. Etablir les conditions d’un dialogue nourri avec les habitants de la circonscription est un engagement permanent. 

Après la nuit de la Saint Sylvestre de l’année passée, j’ai souhaité organiser une consultation publique, une « convention citoyenne » sur le sujet. Réunions publiques, entretiens bilatéraux ou encore tables-rondes ont permis à tous ceux qui le souhaitaient de participer.  

Vous trouverez dans ce dossier un compte-rendu de ces travaux.  J’espère que celui-ci sera fidèle à la richesse et la diversité des échanges. 

Les mesures déja prises (sur les pétards ou feux d’artifices) étaient sans doute un préalable nécessaire à ce que nous devons tous appeler de nos voeux : la désescalade. Elle doit nous permettre de retrouver une Saint-Sylvestre joyeuse, festive et respectueuse. En deux mots : libre et responsable.

J’ai remis le 4 décembre, à la suite d’une réunion de travail sur la sécurité du Nouvel an, les résultats de nos travaux à la Préfète du Bas-Rhin et à la Directrice départementale de la Sécurité publique du Bas-Rhin.

Valéry Giscard d’Estaing, le choix d’une démocratie adulte et apaisée

Divers | 3 décembre 2020

Après le général De Gaulle et Georges Pompidou, incarner la France était un défi. Valéry Giscard d’Estaing avait su le relever, à sa façon, avec modernité. Tout le monde a évidemment en tête son engagement pour le droit des femmes (IVG, divorce par consentement mutuel) et pour la jeunesse (vote à 18 ans).On se rappelle moins de son engagement pour une démocratie adulte et apaisée, en France comme en Europe.

Une démocratie adulte et apaisée en France

Attaché à la fonction du parlement, il accorda le droit à 60 députés ou sénateurs de saisir le Conseil constitutionnel. Cela peut paraître abstrait, surtout au regard des réformes sociétales qu’il a engagées, et pourtant c’est fondamental pour l’Etat de droit et les droits de l’opposition en France. A l’époque, seuls le président de la République, le premier Ministre, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, qui étaient généralement du même bord politique, avaient la possibilité de demander au Conseil constitutionnel de vérifier qu’une loi votée était bien conforme à notre droit fondamental (déclaration des droits de l’homme, constitution). Donner la possibilité à 60 parlementaires, et donc à l’opposition, permettait un meilleur rempart à la toute-puissance majoritaire, et de s’assurer que la loi respecte bien la constitution.

Le choix d’une Europe politique et citoyenne

Aussi bizarre que cela puisse nous sembler aujourd’hui, avant le sommet de Paris de 1978, les eurodéputés n’étaient tout simplement pas élus au suffrage universel direct, mais désignés par les parlementaires nationaux.

Grâce à l’engagement de Valéry Giscard d’Estaing, le sommet de Paris a permis de procéder aux premières élections au suffrage universel en 1979, donnant une place aux citoyens dans l’Union Européenne, lui conférant une véritable légitimité démocratique, et donc un avenir.